Après nous avoir servi « Pour la vie », la jeune Sandrine nous revient avec une nouvelle preuve d’amour intitulé « Pas besoin », un doux délice mélodieux.
Ayant un style assez unique , madame AKENJI a su trouver les mots justes pour dire une fois de plus à son époux Adah combien elle aime et se sent heureuse de ne pas avoir à prétendre lorsqu’elle est avec lui. Une chanson qui peut être jouée par n’importe quelle personne pour son amoureux(se)
Oui, l’amour à n’en point finir avec Sandrine Nnanga vu qu’elle a abordé le même thème dans ses deux précédents songs avec passion et émotion.
Dans sa nouvelle chanson, Sandrine NNANGA reste dans un thème qu’elle semble affectionner ses derniers temps, surtout qu’elle vient de le conjurer en justes noces : l’amour, qu’elle donne et redonne encore sous plusieurs aspects et sous plusieurs facettes. « Pas besoin » parle juste d’un amour inconditionnel, un amour vrai.
A travers cette chanson, Sandrine nous fait comprendre que le véritable amour ne se calcule pas et ne se nourrit pas d’intérêt ; qu’il doit juste être vécu dans sa plus simple réalité, avec ses hauts et ses bas. Elle s’y est exprimée cette fois en langue duala.
Originaire de la région du Sud-Cameroun, elle a une fois de plus laissé parler sa polyvalence linguistique et son multiculturalisme très poussé. Ceci n’est pas déjà une surprise car dans son titre « Ma’a » , elle a esquissé quelques fredonnement d’origine bamiléké et des pas de Bendskin, danse de l’Ouest Cameroun.
Regardez maintenant le vidéogramme réalisé par Adah Akenji dans lequel il joue une fois de plus le rôle du mari de Sandrine.