Sandrine Nnanga, ton niveau par rapport à la plupart des chanteuses pop & populaires locales en termes de chant est bien élevé. Ton entrée avec « Mulema » m’a convaincu que tu peux faire la différence avec tes compositions parce que tes capacités et tes antécédents te le permettent. Tu es une chanteuse à voix, à sensations, plus que ce qu’on ressent dans l’AfroPop.
En termes de musiques slow au Cameroun, ces deux dernières années, je me permets de demander: Quelle chanson d’une artiste populaire de 30 et moins a la performance de « Mulema »? Si je me trompe, que l’on m’excuse. Malheuresement on ne pense pas à cela dans les récompenses de musique de chez nous.
Je reste encore et toujours convaincu que ta route n’est pas la même que celle que toutes les autres empruntent. Tu peux faire des chansons d’un autre niveau, qui peuvent traverser le temps et pousser à une consommation plus qualitative.
Ton avantage reste néanmoins le branding que tu développes autour de toi, tu te médiatises et te popularises auprès des masses. Tu as du potentiel à donner sur scène à la différence de… et de… TU ES UNE DIVA ET TU DOIS SUIVRE LES TRACES DES DIVAS. Tu es celle de notre époque. Fais nous des musiques à la hauteur de ce challenge que tu as face à toi. Oui c’est ça ton challenge à mon avis, faire des « Mulema » qui pourront jouer partout et te rendront crédibles par la différence et le niveau.
Je crois que c’est possible, je crois que tu peux. Je crois que tu dois. Vas et demande encore aux anges de t’assister dans tes inspirations, tu peux être plurielle, tu peux aspirer à être mieux, mais tu es déjà chargée, arme à la main. Ton prochain single m’a déjà flatté, le préambule me parle, vivement la suite de celui-ci et d’autres.
Je n’oublierai jamais ce rouge rayonnant, flamboyant que tu reflétais à travers ta pochette. Je laisse encore ma chronique que j’ai écrit le 08 avril 2018 sur « Mulema ». Je l’avais dit « Ta voie est celle des grands chanteurs ». Bonne chance My SANDRINE NNANGA, je t’aime « Musicalement »
