De la musique à la réalisation, Adah Akenji garde le cap.
Originaire de la région du Nord-ouest Cameroun, Tchi Adah Carothers Akenji fait partie des ces réalisateurs qui marquent le milieu culturel Camerounais. Il est un jeune marié âgé de 35 ans cette année, et père. Homme aux multiples casquettes, Adah Akenji est à la fois beatmakeur, arrangeur, acteur, chanteur, réalisateur et producteur.
C’est à travers son amour pour la musique qu’il se découvre une passion en lui qui est la réalisation. En fait, après avoir enregistré un son dont le clip aurait traîné (10 mois pour être livré), il décide de se lancer dans la réalisation de vidéogramme afin d’éviter les casse-têtes. En 2010, il sera véritablement révélé au grand public à travers le gros travail abattu derrière le clip « On va gérer » de Mr Léo . Dès lors, il a peu à peu réussi à écrire son nom en apportant sa griffe colorée dans cet univers.
Pour Adah Akenji, être réalisateur c’est pouvoir être un visionnaire car ces derniers donnent une réelle image visuelle positive de notre pays. Le réalisateur qui l’a le plus inspiré s’appelle Boby Shamahn.
Propriétaire du label aMusic, il a pu signer des artistes tels que Cindy Vox ,Janea Pol’hanry et Sandrine Nnanga (Co-production ) avec lesquels il aimerait marquer leurs empreintes dans les différentes sphères de la culture 237.
Pour les clips qu’il a eu a réaliser, nous notons dans la foulé: « Tu dors ta vie dort » remix de Janea en featuring avec « Blanche Bailly » , « Boy Tag » et les » Featurist« ; « Bad things » de Tenor; « Bonbon » de Blanche Bailly, « Boboloh » de Rythmz, « Pour la vie » de Sandrine Nnanga et bien d’autres…
Telle une magie, les réalisateurs ont apporté et continue d’apporter des grandes avancées en ce qui concerne l’image vidéographique de nos artistes. Les réalisateurs ont tellement de force qu’ils sont capables de retenir l’attention en transmettant des émotions et des humeurs à travers leurs oeuvres et Adah Akenji en fait partie.
BONNE CONTINUATION A ADAH